Le 11 mai 2012.- Sept juin 1976. Un pilote québécois prometteur dispute une première course en Europe en s’alignant sur la grille de départ au Grand Prix de Pau, en France, grâce à l’appui du Grand Prix de Trois-Rivières, près de chez lui, un événement où il ne cesse de s’illustrer. Onze mai 2012. Un autre pilote Québécois prometteur, lui aussi dominant dans les rues de la cité de Laviolette, prendra le départ de sa première course en Europe, également à Pau, toujours grâce à l’appui du Grand Prix de Trois-Rivières.
Ces deux histoires sont similaires mais une différence majeure les démarque. Si Gilles Villeneuve avait pris le volant d’une March-Ford 752 qui l’a laissé tomber quand son moteur à essence s’est mis à surchauffer au 13e tour de l’épreuve qui en comptait 73, Marc-Antoine Camirand, lui, comptera sur une mécanique d’avant-garde qui avance grâce à une énergie propre, l’Andros Car Evo 2 entièrement électrique.
C’est dans le but de souligner le 30e anniversaire du départ de Gilles Villeneuve que le Grand Prix de Trois-Rivières renoue avec sa mission de permettre aux pilotes de talent d’ici de se faire remarquer ailleurs en envoyant Marc-Antoine Camirand disputer le deuxième Grand Prix entièrement électrique de l’histoire, dans les rues de Pau, en France. «Avec les liens historiques qui lient Gilles Villeneuve, le Grand Prix de Trois-Rivières et le Grand Prix de Pau, il était tout naturel de souligner le départ de Gilles grâce à une telle initiative, explique Dominic Fugère, directeur général du GP3R. Avec un CV vierge de toute course européenne malgré un CV garni de succès dont son record de neuf victoires chez nous, Marc-Antoine s’est imposé comme le meilleur candidat pour nous représenter.»
Bien entendu, le GP3R y trouve aussi son compte. Pour la deuxième année consécutive, le Grand Prix de Pau est l’hôte du seul Grand Prix entièrement électrique au monde. La venue de Camirand à Pau s’inscrit comme une importante étape pour amener le Trophée Andros Électrique à Trois-Rivières afin d’y présenter la première course électrique en Amérique.
« Avec la réputation mondiale du Québec en matière de développement durable et, surtout, d’hydroélectricité, c’est tout naturel que le premier Grand Prix électrique en Amérique se tienne chez nous, ajoute Fugère. Sans compter que ça nous permettrait de renouer avec l’enviable slogan que nous avons longtemps porté : Unique en Amérique.»
Le maire de Trois-Rivières Yves Lévesque s’est dit extrêmement fier de cette initiative : « Ce pas en avant accompagné d’un clin d’oeil au passé souligne très bien l’importance de Gilles Villeneuve dans l’histoire du Grand Prix et même celle de Trois-Rivières, a dit monsieur Lévesque. Je suis certain que Marc-Antoine saura connaître autant de succès à Pau qu’il en a eu chez nous. C’est toute la ville qui bénéficiera du prestige de sa présence en France. »
En plus de payer un volant à Camirand à Pau, le GP3R a dévoilé un autre modeste salut à Gilles Villeneuve qui a couru sous la Porte Duplessis pour la dernière fois en 1977, il y a 35 ans. En collaboration avec le Musée Gilles-Villeneuve, le GP3R offrira aux restaurateurs de la région la chance d’ajouter à leur carte des vins le Ventisette, un vin de Toscane de la maison Renzo Masi importé spécialement pour le 30e anniversaire de départ de Villeneuve.
Ces deux histoires sont similaires mais une différence majeure les démarque. Si Gilles Villeneuve avait pris le volant d’une March-Ford 752 qui l’a laissé tomber quand son moteur à essence s’est mis à surchauffer au 13e tour de l’épreuve qui en comptait 73, Marc-Antoine Camirand, lui, comptera sur une mécanique d’avant-garde qui avance grâce à une énergie propre, l’Andros Car Evo 2 entièrement électrique.
C’est dans le but de souligner le 30e anniversaire du départ de Gilles Villeneuve que le Grand Prix de Trois-Rivières renoue avec sa mission de permettre aux pilotes de talent d’ici de se faire remarquer ailleurs en envoyant Marc-Antoine Camirand disputer le deuxième Grand Prix entièrement électrique de l’histoire, dans les rues de Pau, en France. «Avec les liens historiques qui lient Gilles Villeneuve, le Grand Prix de Trois-Rivières et le Grand Prix de Pau, il était tout naturel de souligner le départ de Gilles grâce à une telle initiative, explique Dominic Fugère, directeur général du GP3R. Avec un CV vierge de toute course européenne malgré un CV garni de succès dont son record de neuf victoires chez nous, Marc-Antoine s’est imposé comme le meilleur candidat pour nous représenter.»
Bien entendu, le GP3R y trouve aussi son compte. Pour la deuxième année consécutive, le Grand Prix de Pau est l’hôte du seul Grand Prix entièrement électrique au monde. La venue de Camirand à Pau s’inscrit comme une importante étape pour amener le Trophée Andros Électrique à Trois-Rivières afin d’y présenter la première course électrique en Amérique.
« Avec la réputation mondiale du Québec en matière de développement durable et, surtout, d’hydroélectricité, c’est tout naturel que le premier Grand Prix électrique en Amérique se tienne chez nous, ajoute Fugère. Sans compter que ça nous permettrait de renouer avec l’enviable slogan que nous avons longtemps porté : Unique en Amérique.»
Le maire de Trois-Rivières Yves Lévesque s’est dit extrêmement fier de cette initiative : « Ce pas en avant accompagné d’un clin d’oeil au passé souligne très bien l’importance de Gilles Villeneuve dans l’histoire du Grand Prix et même celle de Trois-Rivières, a dit monsieur Lévesque. Je suis certain que Marc-Antoine saura connaître autant de succès à Pau qu’il en a eu chez nous. C’est toute la ville qui bénéficiera du prestige de sa présence en France. »
En plus de payer un volant à Camirand à Pau, le GP3R a dévoilé un autre modeste salut à Gilles Villeneuve qui a couru sous la Porte Duplessis pour la dernière fois en 1977, il y a 35 ans. En collaboration avec le Musée Gilles-Villeneuve, le GP3R offrira aux restaurateurs de la région la chance d’ajouter à leur carte des vins le Ventisette, un vin de Toscane de la maison Renzo Masi importé spécialement pour le 30e anniversaire de départ de Villeneuve.
