Le 14 mars 2012.– Le pilote montréalais retourne sur les virages surélevés du demi-mile (0,8 km) de Bristol au Tennessee, après avoir tourné en essais privés sur cette piste au début de février. Il y participera à la première course de la saison 2012 de la série NASCAR K&N Pro Series East.
Prendre la mesure des pilotes d’expérience à l’aise sur cette piste, à bord d’une voiture plus puissante que celles auxquelles Ray Junior est habitué, représente pour lui un défi irrésistible. « Lors des essais de février, j’ai gouté à rouler à une vitesse moyenne de près de 190 km/h. Dans les virages, j’ai aussi appris à regarder en haut sur la gauche du pare-brise, car le bol est tellement serré qu’on ne voit rien d’autre que la piste qui disparait sous la voiture si on regarde directement devant soi. La charge latérale sur le corps, les bras, le cou et les jambes est constante et écrasante, et je devais me rappeler de respirer pendant les trois ou quatre secondes que l’on passe sur le deux lignes droites durant les quelque 20 secondes que dure un tour de piste.»
La série NASCAR Pro Series East fait partie des séries-écoles qui ouvrent la porte vers les séries majeures de NASCAR comme les camions Camping World, la Nationwide et la Coupe Sprint. On y retrouve un mélange explosif de jeunes qui cherchent à se faire un nom, de vétérans endurcis qui aiment et restent en K&N, et de pilotes professionnels qui cherchent à redorer leur réputation avec une victoire ou deux. Les voitures légères et agiles disposent de 650 ch qui les propulsent à quelque 220 km/h sur les courts droits de Bristol.
Courtemanche adopte une attitude positive et réaliste pour ce qui est de la piste et les pilotes en course. « J’approche cette course dans le but d’apprendre une nouvelle piste et de montrer que je pourrai maintenir une bonne cadence de course en apprenant des vétérans autour de moi. Je compte aussi beaucoup sur mon chef d’équipe et préparateur de ma voiture, Mario Gosselin, qui m’avait beaucoup aidé lors des essais de février. Notre but est d’abord de terminer la course, et dans les 15 premiers si je me mets à rêver.
Prendre la mesure des pilotes d’expérience à l’aise sur cette piste, à bord d’une voiture plus puissante que celles auxquelles Ray Junior est habitué, représente pour lui un défi irrésistible. « Lors des essais de février, j’ai gouté à rouler à une vitesse moyenne de près de 190 km/h. Dans les virages, j’ai aussi appris à regarder en haut sur la gauche du pare-brise, car le bol est tellement serré qu’on ne voit rien d’autre que la piste qui disparait sous la voiture si on regarde directement devant soi. La charge latérale sur le corps, les bras, le cou et les jambes est constante et écrasante, et je devais me rappeler de respirer pendant les trois ou quatre secondes que l’on passe sur le deux lignes droites durant les quelque 20 secondes que dure un tour de piste.»
La série NASCAR Pro Series East fait partie des séries-écoles qui ouvrent la porte vers les séries majeures de NASCAR comme les camions Camping World, la Nationwide et la Coupe Sprint. On y retrouve un mélange explosif de jeunes qui cherchent à se faire un nom, de vétérans endurcis qui aiment et restent en K&N, et de pilotes professionnels qui cherchent à redorer leur réputation avec une victoire ou deux. Les voitures légères et agiles disposent de 650 ch qui les propulsent à quelque 220 km/h sur les courts droits de Bristol.
Courtemanche adopte une attitude positive et réaliste pour ce qui est de la piste et les pilotes en course. « J’approche cette course dans le but d’apprendre une nouvelle piste et de montrer que je pourrai maintenir une bonne cadence de course en apprenant des vétérans autour de moi. Je compte aussi beaucoup sur mon chef d’équipe et préparateur de ma voiture, Mario Gosselin, qui m’avait beaucoup aidé lors des essais de février. Notre but est d’abord de terminer la course, et dans les 15 premiers si je me mets à rêver.