Le 7 mars 2012.– Louis-Philippe Dumoulin portera le flambeau québécois en participant à l’épreuve d’endurance des 12h de Sebring le 17 mars prochain. Il pilotera la Porsche 911 GT3 Cup WeatherTech n°22 préparée par l'équipe Alex Job Racing.
Grâce à la passion et la persévérance de Louis-Philippe Dumoulin, de nouvelles possibilités se sont offertes au détenteur du titre de recrue de l’année 2011 en série Nascar Canadian Tire. Le Québécois n’en est pas à ses premières armes en épreuve d’endurance (Koni Challenge, Rolex 24h Daytona) et le 60e anniversaire de ce légendaire événement est une occasion supplémentaire de se démarquer en compétition (Sebring, 14 au 17 mars 2012).
« Je suis très excité de participer à cette course d’endurance de la série American Le Mans, de renommée internationale au même titre que les 24h de Daytona et les 24h du Mans. Des équipes de partout dans le monde seront présentes et c’est une fierté de faire partie de l’équipe WeatherTech voiture n°22 préparée par Alex Job Racing et de compétitionner avec des pilotes de haut calibre. », partage Louis-Philippe Dumoulin.
Les 12h de Sebring, parmi les trois premières courses d’endurance au monde après les 24h du Mans (considérant l’ancienneté, la notoriété et le prestige), l’historique de la piste de Sebring et sa configuration ne sont pas sans rappeler l’importance de la stratégie technique utilisée. De plus, la série American Le Mans comprend cinq catégories de voitures différentes et les pilotes doivent gérer et s’adapter constamment au trafic. L’instructeur de pilotage à l’international et ses coéquipiers, Cooper MacNeil (Hinsdale, IL) et Leh Keen (Charleston SC), en sont conscients. Le circuit de Sebring est connu de Louis-Philippe Dumoulin qui a participé à un événement de voitures de course historique en 2007 au volant d’une BMW de la Série American Le Mans (Sebring -HSR).
« Les murs sont très proches à Sebring, une erreur ne pardonne pas. De plus, la piste est longue, bosselée et physique pour les pilotes. Il y a un enchaînement de virages rapides et serrés, on trouve de tout à Sebring et cela nous oblige à la prudence et à adopter des manœuvres intelligentes et stratégiques pour être là dans la dernière heure, sur le même tour que le meneur et se battre pour la victoire », mentionne Louis-Philippe Dumoulin.
Les 12 Heures de Sebring 2012 marqueront en outre les débuts du nouveau Championnat du monde d'Endurance FIA.
Grâce à la passion et la persévérance de Louis-Philippe Dumoulin, de nouvelles possibilités se sont offertes au détenteur du titre de recrue de l’année 2011 en série Nascar Canadian Tire. Le Québécois n’en est pas à ses premières armes en épreuve d’endurance (Koni Challenge, Rolex 24h Daytona) et le 60e anniversaire de ce légendaire événement est une occasion supplémentaire de se démarquer en compétition (Sebring, 14 au 17 mars 2012).
« Je suis très excité de participer à cette course d’endurance de la série American Le Mans, de renommée internationale au même titre que les 24h de Daytona et les 24h du Mans. Des équipes de partout dans le monde seront présentes et c’est une fierté de faire partie de l’équipe WeatherTech voiture n°22 préparée par Alex Job Racing et de compétitionner avec des pilotes de haut calibre. », partage Louis-Philippe Dumoulin.
Les 12h de Sebring, parmi les trois premières courses d’endurance au monde après les 24h du Mans (considérant l’ancienneté, la notoriété et le prestige), l’historique de la piste de Sebring et sa configuration ne sont pas sans rappeler l’importance de la stratégie technique utilisée. De plus, la série American Le Mans comprend cinq catégories de voitures différentes et les pilotes doivent gérer et s’adapter constamment au trafic. L’instructeur de pilotage à l’international et ses coéquipiers, Cooper MacNeil (Hinsdale, IL) et Leh Keen (Charleston SC), en sont conscients. Le circuit de Sebring est connu de Louis-Philippe Dumoulin qui a participé à un événement de voitures de course historique en 2007 au volant d’une BMW de la Série American Le Mans (Sebring -HSR).
« Les murs sont très proches à Sebring, une erreur ne pardonne pas. De plus, la piste est longue, bosselée et physique pour les pilotes. Il y a un enchaînement de virages rapides et serrés, on trouve de tout à Sebring et cela nous oblige à la prudence et à adopter des manœuvres intelligentes et stratégiques pour être là dans la dernière heure, sur le même tour que le meneur et se battre pour la victoire », mentionne Louis-Philippe Dumoulin.
Les 12 Heures de Sebring 2012 marqueront en outre les débuts du nouveau Championnat du monde d'Endurance FIA.