Le 3 juin 2011.- 550 chevaux et une piste étroite. Voilà ce qui attend Patrice Brisebois au Grand Prix ICAR pour le début de sa troisième saison en NCTS, ces 4 et 5 juin. Patrice ne minimise pas l’ampleur du défi et le prend étape par étape : « mon budget prévoit quatre courses cette saison, toutes sur des circuits où je me sens à l’aise. En plus d’ICAR, nous planifions rouler dans les rues de Toronto lors du week-end Indy (9, 10 juillet), au Grand Prix de Trois-Rivières (5, 6, 7 août) et au Circuit Gilles-Villeneuve lors de la visite de la série NASCAR Nationwide (19, 20 août). »
Après 1009 matches dans la LNH et une coupe Stanley, un second départ dans une nouvelle discipline présentait un attrait indéniable pour Patrice. Il s’en régale. « Mes aptitudes sportives m’ont permis d’apprendre les bases du pilotage plutôt rapidement. Mais se frotter aux seigneurs du NCTS, c’est autrement demandant. J’ai beaucoup de progrès à faire en très peu de temps, quatre courses seulement cette saison. »
L’ancien du Canadien tient à vivre des expériences intenses au volant, afin d’égaler les standards qu’il a vécus au hockey. « C’est une chose de piloter rapidement. Mais ce n’est pas tout. Je dois aussi parler avec mon observateur et le chef d’équipe, gérer mes freins et mes pneus, garder un œil sur mes instruments de bord et les signaleurs. Sans compter que les concurrents en piste ne me feront pas de cadeaux. J’approche de mon but à chaque sortie. Mais surtout, je m’amuse. Le plaisir me rappelle mes débuts au hockey. »
Ce qui n’empêche pas Patrice de penser aux résultats : « J’aimerais bien terminer dans le top-10 au moins une fois cette saison. Mais plus que les bonnes positions en fin de course, je tiens à apprendre le métier comme les pilotes professionnels et à réaliser mon plein potentiel et celui de la machine. Je suis dur avec moi-même, alors rien de moins ne fera l’affaire. »
Pour atteindre son objectif, Patrice a créé sa propre équipe, PB Racing, installée à Trois-Rivières. « Nous travaillons pour bâtir une équipe efficace et professionnelle avec laquelle nous pourrons vivre notre passion au maximum.» Cette année encore et pour la troisième d’affilée, la chaîne L’Équipeur agira à titre de partenaire principal dans cette grande aventure.
Après 1009 matches dans la LNH et une coupe Stanley, un second départ dans une nouvelle discipline présentait un attrait indéniable pour Patrice. Il s’en régale. « Mes aptitudes sportives m’ont permis d’apprendre les bases du pilotage plutôt rapidement. Mais se frotter aux seigneurs du NCTS, c’est autrement demandant. J’ai beaucoup de progrès à faire en très peu de temps, quatre courses seulement cette saison. »
L’ancien du Canadien tient à vivre des expériences intenses au volant, afin d’égaler les standards qu’il a vécus au hockey. « C’est une chose de piloter rapidement. Mais ce n’est pas tout. Je dois aussi parler avec mon observateur et le chef d’équipe, gérer mes freins et mes pneus, garder un œil sur mes instruments de bord et les signaleurs. Sans compter que les concurrents en piste ne me feront pas de cadeaux. J’approche de mon but à chaque sortie. Mais surtout, je m’amuse. Le plaisir me rappelle mes débuts au hockey. »
Ce qui n’empêche pas Patrice de penser aux résultats : « J’aimerais bien terminer dans le top-10 au moins une fois cette saison. Mais plus que les bonnes positions en fin de course, je tiens à apprendre le métier comme les pilotes professionnels et à réaliser mon plein potentiel et celui de la machine. Je suis dur avec moi-même, alors rien de moins ne fera l’affaire. »
Pour atteindre son objectif, Patrice a créé sa propre équipe, PB Racing, installée à Trois-Rivières. « Nous travaillons pour bâtir une équipe efficace et professionnelle avec laquelle nous pourrons vivre notre passion au maximum.» Cette année encore et pour la troisième d’affilée, la chaîne L’Équipeur agira à titre de partenaire principal dans cette grande aventure.